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Il y a 30 ans, le Docteur Jacques Servier demandait à un noyau de diabétologues de pointe de définir une revue de diabétologie destinée aux médecins généralistes. C'est ainsi qu'est née la publication des "Problèmes Quotidiens du Diabète". A l'occasion de ces réunions de travail, Jacques Servier avait demandé aux diabétologues créateurs de la revue quel serait, pour eux, le plus grand progrès dans le traitement du diabète non insulinodépendant (DNID). L'un deux avait répondu "un médicament qui bien sûr contrôle la glycémie avec un maximum de sécurité, mais qui agisse aussi sur les complications vasculaires du diabète", Cet objectif fut donné à notre recherche. Une dizaine d'années plus tard, un nouvel ADO était mis à la disposition du Corps médical français avec un dossier tout à fait exceptionnel. Aujourd'hui, il est présent dans plus d'une centaine de pays et il est devenu l'un des très rares médicaments français "mondialisés". En 1969, avait lieu le 1er Symposium International de Diabétologie Servier. Depuis, 12 symposiums se sont succédés, faisant suite aux différents congrès de la Fédération Internationale du Diabète. Ces symposiums ont pu voir le jour grâce à l'énorme travail fourni par de très nombreux brillants diabétologues dont le Pr. Mirouze, le Pr. Freychet, le Pr. Malaisse, le Pr. Vialette, le Pr. Assan. En 1991, le Symposium s'ouvre aux diabétologues libéraux, ce qui permet d'enrichir considérablement les échanges sur la diabétologie pratique. Au total, 250 diabétologues. Pour ceux qui n'auvaient pu participer au Symposium National, 8 colloques répartis sur toute la France en 1992 ont abordé les thèmes les plus actuels du congrès de la Fédération Internationale du Diabète. Voici quelques illustrations d'un partenariat particulièrement harmonieux entre la diabétologie et l'industrie pharmaceutique française.
Aujourd'hui, l'Institut Servier du Diabète. est la consécration d'un partenariat au service des diabétiques et de la diabétologie. La philosophie qui nous guide est simple. Nous engageons tout notre dynamisme dans la recherche de thérapies nouvelles. Vingt cinq pour cent de notre activité est consacrée à cette recherche. C'est aussi parce que nous croyons plus que jamais à l'importance de l'initiative et de l'esprit de libre entreprise. L'esprit d'entreprise dont les vertus sont faites essentiellement de compréhension, d'adaptation, d'anticipation et de dialogue. L'Institut Servier du Diabète, en pratique, est impliqué dans de nombreuses relations de partenariat en diabétologie. Ce partenariat est déjà à la base de nombreux projets. Partenariat pour l'assistance aux diabétiques par le soutien de projets d'éducation et de prise en charge. Partenariat encore puisque l'Institut Servier du Diabète a pour vocation de contribuer à de grands projets de recherche en particulier épidémiologique Le programme coopératif pour l'étude du diabète non insulinodépendant et des risques athérogènes associés, le programme DIADEM, réalisé grâce à la participation des médecins libéraux de tout le territoire national et dont les résultats ont été présentés au congrès de l’EASD à Vienne en Septembre 1996 est un exemple récent de notre implictation dans la meilleure connaissance du DNID. Autant de nouvelles actions qui attestent qu'avec la création de l'Institut Servier du Diabète, un seuil est désormais franchi pour pouvoir oeuvrer en commun plus étroitement avec tous les acteurs qui édifient, dès aujourd'hui, la diabétologie de demain. L’Institut Servier du Diabète remercie ses fidèles partenaires qui, par leur talent, par leur enthousiasme et leur travail considérable ont justifié sa création, et gratifient et motivent aujourd'hui plus que jamais son existence. |
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